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mardi 28 janvier 2014

Khadija Première femme de Mohamed ~ chrétienne possiblement ~ Mohamed aime Jésus ~ Peace&Love


Recherche http://fr.wikipedia.org/wiki/Mahomet#Sa_vie_maritale
(les chiffres 140 137 etc. hors contexte sont des liens désactivés)
Selon ses biographes, Mahomet aurait eu en tout quinze épouses140 tout au long de sa vie. Dans son livre La chronique, l'historien médiéval Tabari signale que Mahomet aurait convoité cinq femmes et qu'il avait deux esclaves dont l'une « Maria fille de Siméon le Copte »137, lui donna un fils, Ibrahîm, qui mourut à l'âge de deux ans. « Il avait parfois en même temps onze femmes, parfois neuf et parfois dix. Quand il mourut, il laissa neuf veuves. »140. Un peu plus loin, Tabari signale que selon d'autres traditions, Mahomet aurait épousé vingt femmes et qu'« il y a en outre cinq femmes que le prophète a convoitées, mais qu'il n'a pas épousées »141.
Après la mort de Khadija, sa première épouse, il épouse la veuve Saouda, puis, pratique conforme aux normes et aux valeurs de l'Arabie de l'époque142,143, âgé d'environ 50 ans, il épouse Aïcha fille d'Abu Bakr âgée de 6 ans144. Trois ans plus tard, il consomme le mariage ; elle a 9 ans145. Cependant, l'âge d'Aïcha lors de son mariage est sujet à controverse pour des raisons d'incohérences chronologiques multiples, étant donné qu'il n'existait pas de véritable calendrier à l'époque chez les Arabes de la péninsule arabique avec une date de référence claire146,147. Aussi, l'historien Maxime Rodinson émet une certaine réserve au sujet de ce hadith148. D'après la chercheuse britannique Ruqayyah Waris Maqsood (en), Aïcha avait probablement 19 ans lorsqu'elle s'est mariée au Prophète Mahomet149. En 627, il se marie avec Rayhana une juive, puis Myriam en 629 une chrétienne ; la même année, il se marie avec Safiyya une juive, en accord avec les règles de mariage de l'islam.

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Petit extrait de:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Khadija

«... Khadija ou Khadidja bint Khuwaylid (arabe : خَدِيجَة بِنت خُوَيلِد الطَّاهِرَة [Khadīja bint Khuwaylid at-Tāhira], Khadija fille de Khuwaylid la Pure, طاهِر [Tāhir], pur) (v. 555-619 à La Mecque) est la première épouse du prophète de l'islam Mahomet. Elle est considérée dans l’islam comme la mère de tous les musulmans...»

«... Biographie[modifier | modifier le code]

Son père est Khuwailed bin Assad bin Abdul Uza bin Qussay bin Kelab bin Murra, sa mère est Fatima bint Zaeda1. Il est dit qu'elle est une riche commerçante, peut-être issue d'une famille chrétienne2, deux fois veuve et membre de l'importante tribu mecquoise des Banu Asad, branche des Quraych. D'après Ibn Ishaq, son cousin Waraqa ibn Nawfal est prêtre nestorien3,4. Elle engage le jeune Mahomet qui s'était fait remarquer par son intégrité pour conduire son commerce caravanier vers la Syrie. Il devient vite son homme de confiance, et elle lui propose le mariage, qu'il accepte en 595. Elle avait alors 40 ans et lui 25...»


« ... Selon l'islam, les musulmans sont les descendants d'Ibrahim (Abraham) par l'intermédiaire de son fils Isma'ïl (Ismaël). La tradition musulmane propose par conséquent une généalogie de Khadidja remontant à ces deux personnages bibliques. Par ailleurs, les données archéologiques et historiques concluent que le récit biblique relatif à Abraham est légendaire6.
Abraham
Père des Patriarches
Ismaël
Qaidâr
Hamal
Yaschdjob
Ya`rob
Homaisa
Odad
Odd
`Adnan
Ma`add
Nizâr
Modhar
d'Elyâs
Modrika
Khozaima
Kinâna
Nadhr
Mâlik
Fihr
Ghâlib
Lowayy
Ka`b
Morra
Kilâb
Qoçayy
`Abd-El-`Aziz
`Abd-El-`Ôzzi
Assad
Khuwaylid
Khadija

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1.  Le livret de famille du prophète Mouhammad, Damas-Syrie, MR Antique Groupe, page 8.
  2.  Le Prophète Mohammed: sa vie, ses enseignements…  D’après Ibn Ishâq, Khadija Bint Khouwaylid était une femme d’affaires noble et fortunée
  3.  La place de Jésus dans l’Islam, Cheikh Khaled Bentounès … c’est un chrétien dénommé Warraka, parent de sa femme Khadija, qui lui confirmera sa mission prophétique.
  4.  Le Coran  Mahomet lui-même épousa, dans la tradition islamique, Khadidja, dite parfois juive, mais qui serait plus probablement judeo-nazaréenne dans la mesure où son oncle, Waraqa, est dit être "chrétien" (en fait, "nasraniy", traduit par chrétien) converti (gagné aux idées politico-religieuses des ébionites ?) et versé dans les Ecritures hébraïques. Un hadith rapporte même que quand Waraqa mourut, la Révélation faite à Mahomet s'interrompit pour un temps.
  5. ↑ a et b Le livret de famille du prophète Mouhammad, Damas-Syrie, MR Antique Groupe, page 8
  6.  Israël Finkelstein et Neil Asher SilbermanLa Bible dévoilée. Les nouvelles révélations de l’archéologie, Bayard,‎ 11 avril 2002), 431 p. (ISBN 978-2-227-13951-0)p. 47-50 et p. 361-367 ... »

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extrait de:

«...
 soufisme islam
A l’avènement de l’Islam, il y avait de nombreux sujets de division entre les différentes communautés chrétiennes (les monophystes, nestoriens, priscilliens, ariens...) se réclamant du message de Jésus. Est-il fils de Dieu ? Dieu lui-même ? Quelle place accorder à Jésus ? Dans ce contexte le Prophète Mohammed, à travers la révélation coranique, va honorer et réhabiliter Marie et préciser la mission de Jésus.
Dans l’Arabie pré-islamique, deux événements majeurs, en relation avec les chrétiens marquent le destin du Prophète : le premier, lors d’un voyage avec son oncle Abu Talib en Syrie à l’âge de 7 ans Mohammed est reconnu, à certains signes, par le moine chrétien nestorien Bahira. Le second a lieu lors de la première révélation du Coran au Mont Hira qui troubla le Prophète et c’est un chrétien dénommé Warraka, parent de sa femme Khadija, qui lui confirmera sa mission prophétique .
On peut aussi ajouter qu’au cours de la période mecquoise où les musulmans étaient oppressés le Prophète Mohammed recommande à ses compagnons d’émigrer vers l’Abyssinie chrétienne avec qui il entretenait une relation cordiale et amicale. En effet, le Négus, roi d’Abyssinie, avait entendu parler du Prophète et lu les premiers récits coraniques parlant de Jésus et Marie. Ayant été touché par la vénération et le respect avec lequel le Coran parlait de Jésus et de sa mère, il accorda sa protection aux premiers émigrés de l’Islam malgré la réprobation répétée des mécquois avec lesquels pourtant il entretenait un fructueux commerce. A sa mort, le Prophète Mohammed réunit ses compagnons et il fit avec eux une prière dans la mosquée de Médine pour le repos de son âme. Un autre événement qui donne réfléchir sur les relations qui existaient entre les deux communautés. Lorsque la délégation du Najrân (région se situant actuellement au Yémen) arriva à Médine avec soixante personnes et à sa tête un évêque pour voir le Prophète et passer avec lui un pacte d’alliance. Voulant prier il demandèrent un lieu pour célébrer l’office. Le Prophète leur suggéra que le meilleur lieu pour prier était sa mosquée : la maison dédiée à l’adoration de Dieu. Et pour la première fois la messe sera célébrée dans l’un des lieux les plus saint de l’Islam
On le voit, la reconnaissance et le respect de Jésus et de sa communauté existent dès le début de la mission du Prophète. Ainsi les rapports entre l’Islam et la chrétienté se trouvent dès le départ invités au dialogue et au respect mutuel.
Comme les textes le prouvent, il existait un rapport fécond, d’une grande richesse d’échanges tant du point de vue intellectuel, artistique, commercial et spirituel, malgré les affrontements d’intérêts politiques, économiques, qui jalonnent l’histoire, chacun utilisant ses références religieuses et dogmatiques pour justifier sa domination. Ce bref aperçu évoqué, quel regard porte le musulman ouvert et sincère sur Jésus (Sidna Aissa) très souvent associé à Marie (Myriam) ?
Il est considéré comme un être spirituel exceptionnel. Exception confirmée par le Prophète quand il annonce le retour de Jésus pour les temps messianiques où la paix, la justice, l’égalité triompheront enfin sur terre.
Donc dans la conscience musulmane le retour de Jésus est une espérance. C’est la fin d’un cycle apocalyptique au coeur duquel se trouvent les germes du renouveau. Dès lors les hommes s’uniront pour oeuvrer au bien de l’humanité et terrasser le mal.
Ce que je viens d’évoquer, concerne l’aspect extérieur, l’aspect temporel celui lié au sens de l’histoire. Il existe un autre aspect peu connu c’est celui de la place accordée à Jésus par l’ésotérisme musulman. C’est celui relatif au verbe incarné de Dieu comme le dit le Coran sourate 4, verset 171:
Cela signifie qu’il est intemporel. II ne peut être ni cerné, ni connu, ni localisé. Le message spirituel de Jésus ne peut pas se révéler à celui qui ne va pas à la source même d’où émane cette réalité divine. Dans l’ésotérisme musulman (Tacawwuf - soufisme), il y a des stations (degrés spirituels) pour chaque prophète évoqué dans la Bible, et dans le Coran. La station de Jésus est particulière et parmi les plus élevées. Son enseignement délivre une spiritualité pure sans lien déterminé dans le temps et dans l’espace. Cette réalité se révèle à celui qui fait l’effort soutenu d’arriver à cette station, à ce maqqam de Sidna Aïssa (Jésus). Celui-ci, délivre un message extraordinaire : la force de l’amour à puissance sur tout. Par sa naissance Jésus nous apprend que les lois physiques, et temporelles qui gèrent la création peuvent être bouleversées voire inversées par le divin, telle la résurrection des morts. Notre conception du divin se référant uniquement aux lois qui gèrent le monde manifesté est si limitée, qu’elle nous empêche de comprendre la mission de Jésus et sa station. De ce fait, son message demeure inconnu pour le plus grand nombre. Pour les soufis, Jésus est l’émanation ou la démonstration physique que l’être par une voie initiatique peut retrouver l’essence universelle qui donne équilibre et harmonie au monde manifesté, mystère de la création. L’avènement du message mohammadien vient confirmer et révéler dans sa profondeur le contenu du message christique. Comme le dit le prophète Mohammed « Nul n’est plus en droit de se réclamer de Jésus et Marie que moi-même, car entre lui et moi il n’y a aucun prophète ». Ainsi le message rnohammadien devient le miroir révélateur de Jésus car entre les deux prophètes il n’y a aucune altération, aucune rupture. C’est donc dans l’équilibre entre ses deux pôles que le mystère de la vérité se dévoile à l’homme...»

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Conclusion, les chicanes de musulmans versus les chrétiens et vice versa sont sans bon sens :)

Patsy *Peace and Love Forever*



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